
Démocratie pirate:
Un navire de pirates représentait par bien des façons la
plus pure de toutes les démocraties. Les pirates étaient
par nature méfiants envers les gouvernements et
quiconque disposait d’un pouvoir absolu. En conséquence,
ils votaient pour toutes les décisions
importantes(nomination du capitaine, prochaine
destination, attaque ou non agression). Le capitaine
n'étais finalement qu'un chef de groupe sans pouvoir. Le
capitaine est élue par l'équipage et est tenu de faire
respecté l'ordre sur sont navire quand il sont en mers,
c'est lui aussi qui donne les ordres de navigations, le
cap à suivre, la façon de faire lors d'une tempête. Il
donne aussi les ordres lors d'une canonnade ou d'un
abordage pour ne pas que sa soit la cohue la plus total.
Biensur ceci prend effet pour les pirates normaux mais
par exemple Henry Morgan dirigeais tous lui même car l
équipage lui faisait entièrement confiance et disait oui
à tous ce qu'il disait donc c'est lui qui dirigeais
vraiment.

Article ou code:
Chaque navire disposait d’un règlement appelé des «
articles » ou code et enfreindre ce règlement entraînait
de sévères sanctions suivant la gravité de la faute. En
raison de longues périodes d’ennui, les capitaine
utilisaient la peur et le respect pour garder le
contrôles de leur équipage. Dans la mesure où les
articles interdisaient à plusieurs reprise tous combat
et toutes sortes de jeux, les disputes étaient réglées
par des duels sur la côte la plus proche.

Sanctions:
Le « supplice de la planche » n’est autre que la
première sanctions qui vient à l’esprit quand on pense à
la cruauté légendaire des pirates. Cette pratique est
plus courante dans les fictions et les traditions que
l4on attribue aux pirates que dans les document
historique. Hélas, les sanctions répertoriées dans les
documents historiques ne sont guère moins cruelles ni
moins étranges. Il faut bien savoir que les longs
trajets en mère demande une certaine autorité du
capitaine. Pour ne pas qu'il perdent le control de sont
équipage et de sont bâtiments.
La flagellation était une autre sanction très utilisée
pour les transgressions mineures au règlement. Avant de
devenir un jouet moderne que nous connaissons désormais
tous, le martinet était constitué d’un manche enroulé
dans un linge avec neuf bouts de corde terminés par des
nœuds. Lorsque le martinet était projeté sur le dos nu
d’un pirate à plusieurs reprises et avec violence, il
provoquait une vive douleur et des cicatrice à vie.
Une autre pratique qui remonte aux pirates de la Grèce
ancienne consiste à faire passer sous la quille le
pirates ayant commis un délit. Ce dernier était alors
attaché à une corde et suspendu d'un coté du navire. Il
se faisais ensuite traîner sous le navire et de part et
d'autre de ce dernier. Si la victime ne se noyais pas,
son corps était alors traîner contre la paroi tranchante
comme un rasoir et finissait ainsi sa « croisière ».
Autant dire qu'il étais très difficile de survivre à
cette sanction, mais Long John Silver lui y a survécu .
. .
L’abandon sur une île déserte n’était autre qu’une
condamnation à mort indirecte. Les pirates qui
commettaient de graves délits tels que voler un autre
membre de l'équipage ou des actes de lâcheté au combat
étaient abandonnés sur une petite îles avec pour seule «
compagnie » de l eau fraîche, une arme et des balles .A
l’occasion, les marins ainsi abandonnés parvenaient à
s’échapper de l île mais la plupart du temps, l’arme
constituait leur unique façon de remédier à la famine et
à l’isolement qu'il subissait.. .
Dans la rubrique divers sur la piraterie vous pourrez
trouver un exemple de code de pirate. Il est inutile de
vous précisez que ce n'es qu'un exemple et non un vrai.
Mais cela vous donnera une idées des lois à bord des
vaisseaux pirates.

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